Comment l’architecture « spine-and-leaf » permet-elle d’étendre le réseau lorsqu’on a besoin de davantage de ports d’accès ?
En intégrant un switch spine et un switch leaf avec des connexions redondantes entre eux.
En ajoutant un switch spine muni d’uplinks d’au moins 40 GB.
En ajoutant un switch leaf qui est relié à chaque switch spine.
En ajoutant un switch leaf avec un seul lien vers un switch spine central.
En connectant un switch leaf à un switch de périphérie.
Explications
Réponse C : Dans une architecture « spine-and-leaf », chaque switch leaf est connecté à tous les switches spine existants. Cela garantit une faible latence et une uniformité des temps de réponse, tout en offrant une flexibilité pour ajouter de la capacité au réseau.
Réponse A : Bien que la redondance soit une caractéristique clé de l’architecture « spine-and-leaf », simplement ajouter un switch spine et un switch leaf avec des connexions redondantes ne décrit pas comment cette architecture traite l’extension lors de l’ajout de ports d’accès.
Réponse B : L’ajout d’un switch spine avec des uplinks d’une certaine capacité ne décrit pas directement comment l’architecture « spine-and-leaf » gère la scalabilité liée aux ports d’accès. La capacité des uplinks est un détail technique, mais elle n’est pas au cœur de la question posée.
Réponse D : Dans l’architecture « spine-and-leaf », un switch leaf ne se connecte pas à un seul switch spine central, mais à tous les switches spine. C’est cette connectivité complète qui offre l’avantage de faible latence et de flexibilité.
Réponse E : La notion de « switch de périphérie » n’est pas typique dans une discussion sur l’architecture « spine-and-leaf ». Ce choix introduit un élément qui n’est pas pertinent pour la structure « spine-and-leaf ».